Les forêts tropicales ne se portent pas bien. Cet ouvrage en expose clairement les raisons : mépris des populations locales, mode de développement choisi, comportements prédateurs, conflits armés... Lire la suite
Les forêts tropicales ne se portent pas bien. Cet ouvrage en expose clairement les raisons : mépris des populations locales, mode de développement choisi, comportements prédateurs, conflits armés...
En s’appuyant sur les travaux d’experts et sur des témoignages recueillis sur le terrain, l’auteur analyse les avancées et les limites de l’action internationale pour la gestion durable des forêts tropicales. Chemin faisant, elle bouscule un certain nombre d’idées reçues : bois tropical ne signifie pas bois précieux ; la forêt vierge n’existe pas ; le commerce international n’est pas toujours la cause principale du recul de la forêt tropicale.
Chapitre 1 /RÉGULATION POLITIQUE ET REPRÉSENTATION DES INTÉRÊTS
• Le marché, les institutions et le pouvoir
• La définition et la représentation des intérêts collectifs
Chapitre 2 / L'INSTITUTIONNALISATION DE L'UNIVERS VITIVINICOLE FRANÇAIS
• L’ère préétatique : régulations localisées
• L’institutionnalisation du néocorporatisme national (1875-1960)
• L’émergence de politiques partiellement européanisées (1962-1990)
I I – LA REPRÉSENTATION DES INTÉRÊTS DANS UN UNIVERS FRAGMENTÉ
Chapitre 4 / L’ACTION INTERPROFESSIONNELLE ENTRE INTÉGRATION ET CONTESTATION
• L’institutionnalisation du Conseil interprofessionnel du vin de Bordeaux
• Dissociation du politique et affirmation identitaire
Chapitre 5 /LES DÉFIS D’UNE REPRÉSENTATION SIMULTANÉE DES PROFESSIONS ET DES VINS
Chapitre 7 / VIN ET SANTÉ : LES CONTRAINTES DE L’INTERSECTORIEL
Chapitre 8 /LA DIFFICILE RÉFORME DES APPELLATIONS D’ORIGINE CONTRÔLÉE
Métamorphoses